Les traditions de NOEL sont très largement admises et partagées par la majorité des chrétiens pratiquants qui personnalisent leur fête religieuse par l'ajout d'une crèche et, pour les catholiques, la célébration de la Nativité pendant la messe de minuit
- Bien avant l'apparition du christianisme, l'époque du solstice d'hiver était déjà une période charnière de l'année, qui regroupait de nombreuses croyances païennes relatives à la fertilité, la maternité, la procréation et l'astronomie. Elle donnait donc lieu à de nombreuses manifestations. Ces traditions antiques ont de nombreux points de similitude avec la fête chrétienne.
- À partir du XIIe siècle, la célébration religieuse est accompagnée de drames liturgiques, les « mystères » qui mettent en scène l'adoration des bergers ou la procession des mages. Ces drames liturgiques se jouent primitivement dans les églises, puis gagnent les parvis.
- Les premières crèches ressemblant à celles que nous connaissons (mise en scène occasionnelle et passagère de la Nativité non plus sur des peintures, fresques, mosaïques ou bas-reliefs mais avec des statues « indépendantes ») font leur apparition dans les églises et les couvents au XVIe siècle, d'abord en Italie. Elles se répandent dans les demeures d'aristocrates au XVIIe siècle, époque à laquelle Noël devient non seulement une fête religieuse célébrée à l'église mais aussi une fête familiale plus intime

Certaines traditions et des symboles associés au Noël chrétien sont attestés dans d'autres cultes qui ont précédé le christianisme : le jour de l'année choisi par l'Église, la grotte, les bergers.


Noël est une fête d'origine romaine célébrée chaque année, majoritairement dans la nuit du 24 au 25 décembre ainsi que le 25 toute la journée.
En tant que fête chrétienne, elle commémore la naissance de Jésus de Nazareth

ce bébé aux pieds des "adorateurs" est bien réel, bien vivant

vocation précoce d'un intermittent du spectacle

L'Annonce aux bergers est un épisode de la nativité de Jésus dans lequel des anges annoncent à un groupe de bergers la naissance du Messie
Il ne doit pas être confondu avec le suivant appelé l'« Adoration des bergers ».
L’adoration des bergers est l’une des scènes les plus représentées dans le cycle de Noël, associée à la représentation de la Nativité. Cette dernière comprend l’annonce faite aux bergers, leur adoration et celle des mages.









Elle mêle en une image tout le récit narré dans l’Evangile de Luc, qui avec celui de Mathieu forment les deux évangiles de l’enfance du Christ.



Je les connais ces petits minois adorables
anges ou démons ?
AUJOURD'HUI... TOUS DES ANGES !
n'est-ce pas Julia ?









les parents, les grands-parents, les amis, les voisins
ceux qui croient au ciel, ceux qui n'y croient pas
étaient là et repartent souriants





l ANE, MOUTON, VEAU, POUSSINS
attiraient comme il se doit, les regards et les petites menottes des enfants
Étant donné que, d'après les récits bibliques de Noël, les troupeaux sont dehors avec leurs bergers, on peut en déduire que la naissance de Jésus ne s'est en tout cas pas
située en hiver




Au IVe siècle, la date du 25 décembre a été choisie comme date pour la fête de Noël, principalement dans le but de la substituer aux fêtes païennes qui étaient d'usage à l'époque, comme la fête de la renaissance du Soleil Invaincu (Sol Invictus), le solstice d'hiver et les Saturnales romaines qui avaient toutes lieu à la période du 25 décembre.

Josette peut être ravie
qui a, comme chaque année, réalisé la crèche dans l'église
et largement participé à la crèche vivante
avec d'autres "petites mains"
Cyrielle la conteuse,
Sylvie à l'organisation
Si j'en oublie, "pardonnez-moi"




au revoir les enfants
vous êtes de formidables acteurs !
Ils sont toujours très sérieux dans leurs représentations au public
que ce soit à la musique, à la danse, au sport
Respect !




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« C’est une volonté de fouler aux pieds la loi de 1905 »
9 décembre 1905
Séparation des Églises et de l'État
Le 9 décembre 1905, le député socialiste Aristide Briand (43 ans) fait voter la loi concernant la séparation des Églises et de l'État.
La loi s'applique aux quatre confessions alors représentées en France : le catholicisme, la confession d'Augsbourg (les protestants luthériens), les réformés (les protestants calvinistes) et les israélites. Elle clôture 25 ans de tensions entre la République et l'Église catholique, l'un et l'autre se disputant le magistère moral sur la société.
La nouvelle loi met fin au Concordat napoléonien de 1801 qui régissait les rapports entre le gouvernement français et l'Église catholique.
Elle proclame la liberté de conscience et garantit le libre exercice des cultes.
Article 1er : «la République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes...».
Article 2 : «La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte...»
Par cette loi, l'État manifeste sa volonté de neutralité religieuse mais ne s'exonère pas de ses responsabilités. Il veut «garantir» à chacun les moyens d'exercer librement sa religion dans le respect de celles d'autrui.
« Nous demandons l’enlèvement immédiat de la crèche », indique le sous-préfet Christian Pouget au quotidien.
En 2017, l’Etat avait déjà saisi la justice, et avait gagné.